lundi 10 mars 2008

La thérapie autrement

Je suis thérapeute en biologie totale (concept Claude Sabbah). 

Tous les jours, j'observe avec émerveillement que nos maladies ne sont pas le fruit du hasard.

Elles sont "dictées" par des lois universelles qui régissent le monde vivant ( végétal, animal et humain) dont le principe s'appelle SURVIE.

Chaque personne arrive avec son "bagage", son histoire. Il ne s'agit pas de s'occuper d'une maladie mais bien d'une personne qui a une maladie.
Elle représente pour elle, et seulement pour elle, le résultat d'une équation pour sa survie.

Longtemps, j'ai cherché des réponses aux "dysfonctionnements" de notre corps.
J'étais "malade", un diagnostic précis de spondylarthrite ankylosante à l'âge de 28 ans m'avait presque condamné ( je m'étais condamné ).
Les médecins m'ont dit être impuissants face à cette maladie et m'ont donné très peu d'espoir.
J'ai, alors, cherché dans d'autres thérapies une réponse à mon problème 

J'ai rencontré des gens formidables qui m'ont aidé et, peu à peu, je suis sorti de trou noir dans lequel j'étais.

J'ai ensuite entendu parler de la biologie totale et du décodage biologique. J'ai approché cette nouveauté par le biais de mini-formations données par un thérapeute de la région de Charleroi: Roberto Fradera 
Dès la première approche, j'ai été totalement conquis.
Je suis passé au niveau supérieur et je me suis inscrit aux cours du maître Claude Sabbah.
Depuis, de certitudes en guérisons, j'ai accompli un tel chemin que je suis devenu, à mon tour, thérapeute.

Bien sûr, il ne faut jamais s'arrêter sous peine de stagner définitivement, c'est ainsi que, récemment, j'ai approché encore d'autres domaines thérapeutiques.
Je viens de suivre une formation à Paris donnée par Peggy Pace sur le Lifespan Integration
ou, en français: Intégration du Cycle de Vie (ICV).
Il s'agit d'une thérapie plutôt dérivée de l' EMDR qui permet de se connecter avec des souvenirs du passé qui sont en relation avec une émotion et de les dé-sensibiliser.
Cette thérapie existe aux Etats-Unis et en Espagne depuis de nombreuses années et débarque enfin chez nous.

Je retrouve, dans cette approche, beaucoup de complémentarité à la biologie totale et je vais m'en servir dans ma pratique dès que j'en éprouverai la nécessité.

Voici, en quelques mots ma présentation, je reçois sur rendez-vous à ma consultation tous les jours dans la région de Louvain-La-Neuve - Gembloux


5 commentaires:

Anonyme a dit…

"Déprogrammation biologique antithérapeutique "

"Les concepts de programme biologique et de déprogrammation biologique sont utilisés par ceux qui se réclament de près ou de loin (notamment) de la BT. Leur usage est antithérapeutique, étant donné que l’accompagnement entrepris se concentre alors sur la prise en charge de ce qui est appelé dogmatiquement des programmes biologiques.

En effet, lorsqu’un patient vient à parler de ce qui s’est passé dans la période antérieure, par exemple, à l’apparition de sa maladie, il fait état de ce qu’on pourrait appeler globalement une situation (complexe) notamment souffrante, où divers éléments s’enchevêtrent, mais qui ne sont jamais réductibles à des sortes de programmes biologiques.

Dans un accompagnement psychothérapeutique approprié, le patient arrive souvent à montrer que de telles situations se révèlent être en lien étroit avec ce qui s’est passé durant l’enfance, voire avant. De telles situations très complexes ne se réduisent pas à des prétendus programmes biologiques. Les effets indésirables de telles situations ne s’annulent en profondeur que par le truchement d'une approche authentiquement psychothérapeutique.

Cela n’a rien à voir avec la mise au jour d’un prétendu conflit, propre au décodage biologique .
Face aux impasses récurrentes de la déprogrammation biologique, voici l’explication boiteuse donnée par le Dr S. :
L’échec de la Déprogrammation Biologique peut être celui du thérapeute qui n’a pas trouvé l’origine du conflit [….

Le Dr S. fait croire que c'est le rôle du thérapeute de « trouver l'origine du conflit », ce qui est en opposition avec ce qu’implique une pratique maïeutique dans un cadre psychothérapeutique digne de ce nom : facilitant chez le patient l'autodécouverte de ce qui est pour lui le sens à donner à ses maux, sans induction de quoi que ce soit. Agir autrement, c'est se poser en maître à penser qui se commet alors dans de la thérapie sauvage."

Extrait du livre "Quand les thérapeutes dérapent" copyright Baudouin Labrique ( http://www.derapeutes.eu )

Anonyme a dit…

EMDR :

Cette approche et ceelle squi en découlent sont sujettes à caution non seulement vu leurs prétentions fallacieusement scientifiques mais leur efficacité douteuse voir leur dangerosité(extraits de mon livre):

Sur le plan de l’efficacité réelle et en concordance avec ce que j’ai pu en lire, j’ai pu observer chez des patients qui y avaient eu recours, que les problématiques censées être traitées ainsi, se manifestaient encore à la faveur d'autres péripéties de la vie, alors qu’on leur avait fait des promesses de guérison (ce qui est déjà en soi une dérive ) ;
en voici un témoignage exemplatif :

"Suite à une dépression réactionnelle (vie normale et gaie puis un choc traumatique), j'ai été traitée par antidépresseurs, psychothérapies, hypnose, relaxation... J'ai fait des TS [tentatives de suicide], subi des hospitalisations. Sans aucun résultat. Je passe sur les conséquences sur ma santé physique, mon travail, ma vie personnelle. Le livre de DSS* m'a redonné espoir. Je suis allée consulter un spécialiste EMDR qui m'a expliqué que cette méthode était ma seule chance de "guérir", je correspondais à une indication "idéale". Guérison assurée m'avait-on annoncé. J'ai fait une bonne douzaine de séances, pris des oméga-3. Après une légère amélioration, mon état s'est de nouveau détérioré. Tout cela pour rien au final. J'y ai laissé une petite fortune (une grande partie des soins n'étant pas remboursée). Et aujourd'hui l'avis du thérapeute n'est plus aussi assuré. Je me retrouve maintenant dans une grande souffrance, plus les moyens de consulter, et un isolement qui n'arrange rien, ne pouvant compter sur mon entourage […] Et surtout, j'ai perdu tout espoir de m'en sortir un jour. J'ai de nouveau des idées suicidaires. Je pense à ma vie "avant". Alors que faire ? Que penser ? Sur qui puis-je compter ? Privilégie-t-on le business plutôt que le bien-être des gens en souffrance ? J'ai perdu confiance en les thérapeutes".

« Complications thérapeutiques suite au traitement »
Pire, l’EMDR peut engendrer des effets iatrogènes souvent dramatiques. Le Dr Alain Brunet a notamment décrit en détail un « épisode dissociatif sévère » et des « complications thérapeutiques suite au traitement EMDR chez un vétéran traumatisé ».

Anonyme a dit…

EMDR :

Cette approche et ceelle squi en découlent sont sujettes à caution non seulement vu leurs prétentions fallacieusement scientifiques mais leur efficacité douteuse voir leur dangerosité(extraits de mon livre):

Sur le plan de l’efficacité réelle et en concordance avec ce que j’ai pu en lire, j’ai pu observer chez des patients qui y avaient eu recours, que les problématiques censées être traitées ainsi, se manifestaient encore à la faveur d'autres péripéties de la vie, alors qu’on leur avait fait des promesses de guérison (ce qui est déjà en soi une dérive ) ;
en voici un témoignage exemplatif :

"Suite à une dépression réactionnelle (vie normale et gaie puis un choc traumatique), j'ai été traitée par antidépresseurs, psychothérapies, hypnose, relaxation... J'ai fait des TS [tentatives de suicide], subi des hospitalisations. Sans aucun résultat. Je passe sur les conséquences sur ma santé physique, mon travail, ma vie personnelle. Le livre de DSS* m'a redonné espoir. Je suis allée consulter un spécialiste EMDR qui m'a expliqué que cette méthode était ma seule chance de "guérir", je correspondais à une indication "idéale". Guérison assurée m'avait-on annoncé. J'ai fait une bonne douzaine de séances, pris des oméga-3. Après une légère amélioration, mon état s'est de nouveau détérioré. Tout cela pour rien au final. J'y ai laissé une petite fortune (une grande partie des soins n'étant pas remboursée). Et aujourd'hui l'avis du thérapeute n'est plus aussi assuré. Je me retrouve maintenant dans une grande souffrance, plus les moyens de consulter, et un isolement qui n'arrange rien, ne pouvant compter sur mon entourage […] Et surtout, j'ai perdu tout espoir de m'en sortir un jour. J'ai de nouveau des idées suicidaires. Je pense à ma vie "avant". Alors que faire ? Que penser ? Sur qui puis-je compter ? Privilégie-t-on le business plutôt que le bien-être des gens en souffrance ? J'ai perdu confiance en les thérapeutes".

« Complications thérapeutiques suite au traitement »
Pire, l’EMDR peut engendrer des effets iatrogènes souvent dramatiques. Le Dr Alain Brunet a notamment décrit en détail un « épisode dissociatif sévère » et des « complications thérapeutiques suite au traitement EMDR chez un vétéran traumatisé ».

Anonyme a dit…

EMDR :

Cette approche et ceelle squi en découlent sont sujettes à caution non seulement vu leurs prétentions fallacieusement scientifiques mais leur efficacité douteuse voir leur dangerosité(extraits de mon livre):

Sur le plan de l’efficacité réelle et en concordance avec ce que j’ai pu en lire, j’ai pu observer chez des patients qui y avaient eu recours, que les problématiques censées être traitées ainsi, se manifestaient encore à la faveur d'autres péripéties de la vie, alors qu’on leur avait fait des promesses de guérison (ce qui est déjà en soi une dérive ) ;
en voici un témoignage exemplatif :

"Suite à une dépression réactionnelle (vie normale et gaie puis un choc traumatique), j'ai été traitée par antidépresseurs, psychothérapies, hypnose, relaxation... J'ai fait des TS [tentatives de suicide], subi des hospitalisations. Sans aucun résultat. Je passe sur les conséquences sur ma santé physique, mon travail, ma vie personnelle. Le livre de DSS* m'a redonné espoir. Je suis allée consulter un spécialiste EMDR qui m'a expliqué que cette méthode était ma seule chance de "guérir", je correspondais à une indication "idéale". Guérison assurée m'avait-on annoncé. J'ai fait une bonne douzaine de séances, pris des oméga-3. Après une légère amélioration, mon état s'est de nouveau détérioré. Tout cela pour rien au final. J'y ai laissé une petite fortune (une grande partie des soins n'étant pas remboursée). Et aujourd'hui l'avis du thérapeute n'est plus aussi assuré. Je me retrouve maintenant dans une grande souffrance, plus les moyens de consulter, et un isolement qui n'arrange rien, ne pouvant compter sur mon entourage […] Et surtout, j'ai perdu tout espoir de m'en sortir un jour. J'ai de nouveau des idées suicidaires. Je pense à ma vie "avant". Alors que faire ? Que penser ? Sur qui puis-je compter ? Privilégie-t-on le business plutôt que le bien-être des gens en souffrance ? J'ai perdu confiance en les thérapeutes".

« Complications thérapeutiques suite au traitement »
Pire, l’EMDR peut engendrer des effets iatrogènes souvent dramatiques. Le Dr Alain Brunet a notamment décrit en détail un « épisode dissociatif sévère » et des « complications thérapeutiques suite au traitement EMDR chez un vétéran traumatisé ».

Anonyme a dit…

EMDR :

Cette approche et ceelle squi en découlent sont sujettes à caution non seulement vu leurs prétentions fallacieusement scientifiques mais leur efficacité douteuse voir leur dangerosité(extraits de mon livre):

Sur le plan de l’efficacité réelle et en concordance avec ce que j’ai pu en lire, j’ai pu observer chez des patients qui y avaient eu recours, que les problématiques censées être traitées ainsi, se manifestaient encore à la faveur d'autres péripéties de la vie, alors qu’on leur avait fait des promesses de guérison (ce qui est déjà en soi une dérive ) ;
en voici un témoignage exemplatif :

"Suite à une dépression réactionnelle (vie normale et gaie puis un choc traumatique), j'ai été traitée par antidépresseurs, psychothérapies, hypnose, relaxation... J'ai fait des TS [tentatives de suicide], subi des hospitalisations. Sans aucun résultat. Je passe sur les conséquences sur ma santé physique, mon travail, ma vie personnelle. Le livre de DSS* m'a redonné espoir. Je suis allée consulter un spécialiste EMDR qui m'a expliqué que cette méthode était ma seule chance de "guérir", je correspondais à une indication "idéale". Guérison assurée m'avait-on annoncé. J'ai fait une bonne douzaine de séances, pris des oméga-3. Après une légère amélioration, mon état s'est de nouveau détérioré. Tout cela pour rien au final. J'y ai laissé une petite fortune (une grande partie des soins n'étant pas remboursée). Et aujourd'hui l'avis du thérapeute n'est plus aussi assuré. Je me retrouve maintenant dans une grande souffrance, plus les moyens de consulter, et un isolement qui n'arrange rien, ne pouvant compter sur mon entourage […] Et surtout, j'ai perdu tout espoir de m'en sortir un jour. J'ai de nouveau des idées suicidaires. Je pense à ma vie "avant". Alors que faire ? Que penser ? Sur qui puis-je compter ? Privilégie-t-on le business plutôt que le bien-être des gens en souffrance ? J'ai perdu confiance en les thérapeutes".

« Complications thérapeutiques suite au traitement »
Pire, l’EMDR peut engendrer des effets iatrogènes souvent dramatiques. Le Dr Alain Brunet a notamment décrit en détail un « épisode dissociatif sévère » et des « complications thérapeutiques suite au traitement EMDR chez un vétéran traumatisé ».